Le soleil commençait son assencion journalière et l'orient commençait à rougir. Les nuages éparses reflétait une pale lueur orangée. Les oiseaux commençait à sortir de leur nids en quête de nourriture.
Matsïatö ouvrit un oeil puis le deuxième très rapidement. Il regardat autour de lui d'un air effrayé. Il ne reconnaissait rien et était sur d'une chose : il ne s'était pas couché là. Où était donc passé sa chambre ? Ses draps et sa couvertures qui lui tenaient chaud n'était pas là. Ce qui l'entourait était assez inhabituel. Il était dans une sorte de cabane en bois très rudimentaire. Les branches servaient plus de camouflage que d'abri. Il continua son inspection des lieux quand soudain il découvrit...
...des os humains. Il les reconnaissait facilement lui qui avait été éduqué par le magicien Diolös. Il avait apris de nombreuses chose sur l'anatomie. Il pu donc se rendre compte, au vu des lambeaux de chaire pendu au ossements, que tout ceci était l'oeuvre d'une créature qui avait une machoire plus grande que celle des humains. Que cette bête féroce avait de puissantes griffes. Et qu'elle mangeait de la chaire humaine.
Mais alors, je suis la prochaine victime. Cette certitude s'abatit sur Matsïatö comme une enclume sur un chateau de carte. La peur l'immobilisait. Il était incapable de se mouvoir ou même de penser.
Un bruit assez lointain le fit sortir de sa stupeur. Un mouvement dans la forêt. Puis bientôt le bruit se rapprochait. Il s'amplifait et la bête faisait le bruit d'une dizaine d'homme. Une bête forcement énorme et cela suffisait à la rendre effrayante.
Matsïatö voulait sortir et courir vers les montagnes. Il ne trouva pas étrange que la bête approche par la direction de la ville. La peur l'empéchait de penser au détail, seulement à la fuite. Prenant son courage à deux mains il ne pu emporter un morceau de bois qui lui aurait servi de gourdin [il n'a pas trois mains !!!]. Il sortit de la cabane mal abritée. Et fse rua vers les monts rocheux qui surplombait tout les environs.
Il commençait à s'épuiser sur les pentes colossales tandis qu'il entendit la bête hurler en arrivant à sa cachette déséspérement vide. Il prit alors ses jambes à son cou [il ne lui reste pas grand chose de libre] et poursuivi son ascencion. Il trouva une grotte peu profonde mais qui lui servirait de cachette. De toute façon il ne pouvait continuer d'avantage.
La bête avançait plus lentement comme si elle avait du mal à le suivre à la trace. Mais elle se rapprochait inéxorablement. Elle gravissait les degrés rocailleux et continuait son vacarme. Matsïatö était maintenant sur qu'elle allait le trouver et le dévorer. Son contour se déssina dans l'embrasure de la grotte. Et elle se ruat sur lui.
Matsïatö eut un moment d'espoir quand il reconnu une troupe d'homme qui se présentat à l'entré. Mais il perdit ses illusions quand ils crièrent tous en coeur : "A mort le lycantrope !". Le groupe se rua sur lui armes au poing.
Ainsi périt Matsïatö qui ignorait que la bête féroce c'était lui. La bête est en chacun de nous, ne la cherchons pas chez les autres...